Rozenn est aussi un roman qui attendait sagement dans ma bibliothèque depuis plusieurs mois et ayant envie de me plonger dans de la fantasy ce mois-ci je me suis dit que c’était une bonne occasion C’est d’ailleurs la première fois que je lis un roman de cette autrice !
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Résumé de l’éditeur
Rozenn Kaplang est une djinn.
Durant de longues années, son peuple a souffert de la domination des dagnirs, mais si l’esclavage est officiellement aboli, la liberté, elle, garde un goût amer.
Et si une union entre princes et princesses de ces différentes tribus permettait de tirer un trait sur un douloureux passé.
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Puisque je n’avais jamais entendu parler de ce roman et que je l’avais choisi par hasard, je ne savais pas du tout à quoi m’attendre. J’ai été agréablement surprise par le rythme de l’intrigue dès les premières pages. Les sœurs Kaplang fomentent leur fugue afin d’éviter l’alliance de leur père avec les dagnirs. Malheureusement, le destin en a choisi autrement et elles vont devoir se plier aux volontés des deux chefs de clans. Le personnage de Rozenn est très vite mis en avant, c’est une jeune femme fougueuse qui ne veut pas se soumettre à la volonté des dirigeants et qui surtout se soucie du peuple djinn. On s’attache facilement à elle et j’ai apprécié suivre sa découverte du royaume dagnir et surtout ses différents rendez-vous avec les princes. Les deux sœurs ont un caractère opposé à celui de Rozenn et cela donne un peu de peps à l’intrigue et notamment aux liens qui unissent la sororité. On comprend assez rapidement qu’il va y avoir du grabuge dans la famille et que cela va influer sur leur choix de faire confiance ou non aux dagnirs.
D’une manière générale, l’univers est super intéressant ! C’est la première fois que je me plonge dans le monde des djinns, je me suis retrouvée entourée de pouvoirs magiques, d’artefacts et surtout de tapis volants ! Ce n’est pas un univers auquel j’ai l’habitude mais j’ai adoré y vagabonder et je sens que dans le deuxième tome je vais en apprendre plus sur le monde djinn et toute la culture qui s’y rattache. Pour le moment, c’est assez vague, on sait que dans le passé les djinns étaient esclaves des dagnirs et que ces derniers en plus de les asservir et de les placer dans les artefacts type lampe ou bijoux, faisaient des expériences sur certains d’entre-eux. Un passé peu reluisant, on comprend mieux le comportement hostile de Rozenn.
J’ai hâte de lire la suite que je vais commander chez mon libraire cette semaine !
✿ Si vous avez d’autres romans à me conseiller un peu dans le même univers, je suis preneuse 🙂
Bonne lecture,
Judith
Les chasseuses de livres 
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